« À l’occasion de la Journée mondiale des Solitudes, lundi 23 janvier, la Fondation de France publie l’étude Solitudes 2022, menée en collaboration avec le Crédoc et l’équipe de recherche du Cerlis. Intitulée « Regards sur les fragilités relationnelles », cette étude montre que si l’isolement a reculé en un an, le sentiment de solitude reste élevé, avec 11 millions de personnes touchées en France, soit 20 % de la population de plus de 15 ans. Une personne sur cinq se sent régulièrement seule. Le sentiment de solitude fait souffrir 80 % de ceux qui l’éprouvent, soit 9 millions de personnes en France en 2023. Nouveauté de cette édition, l’étude explore, au-delà des chiffres, les chemins d’entrée en solitude et les voies permettant d’en sortir à travers le vécu de personnes concernées par le phénomène. »
Est-ce que la foi ne constituerait pas une issue à cette solitude ?
Imaginez-vous en train de passer un moment agréable, avec des personnes qui vous sont chères, autour d’un bon repas. À ce moment-là, tout va bien, vous êtes plutôt serein. Mais tout à coup, une pensée négative, un geste maladroit ou même un simple mot viennent vous extirper de votre bulle de bonheur. C’est comme si soudainement, tout s’écroulait et que vous ne vous sentiez pas capable de surmonter cet élément perturbateur qui vous rappelle le nuage noir qui plane au-dessus de votre tête depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Ce nuage noir, c’est peut-être votre travail, où vous occupez un poste dans lequel vous ne vous épanouissez pas et où vous avez à supporter une hiérarchie pénible. Ce nuage noir, c’est peut-être une situation familiale compliquée ou encore la perte d’un être cher. Ces situations sont familières pour beaucoup d’entre nous et j’aimerais vous expliquer comment je chasse ce nuage noir. Se plaindre et s’apitoyer sur son sort constituent souvent un choix naturel, mais est-ce vraiment la solution ?
Tout d’abord, avouons simplement que la vie n’est pas facile, puis rappelons-nous que l’être humain n’est pas parfait et pour finir, souvenons-nous que Jésus promet de faire concourir toutes choses, y compris celles qui sont négatives, au bien de ceux qui se confient en lui. Il nous garantit que si nous acceptons de lui faire confiance, nous ne sommes plus seuls face aux situations difficiles qui nous assaillent.
En plaçant ma confiance en lui, je découvre la paix qu’il promet et qu’il offre face aux circonstances pénibles passées, présentes et à venir. Cerise sur le gâteau, l’optimisme que je manifeste est un baume et une source de motivation pour mon entourage. Êtes-vous prêt à essayer ?